Ken Akamatsu...tiens donc ce nom parait peut-être familier à certains ?
Et oui puisqu'il s'agit du célèbrissime auteur (du moins au japon) de Love Hina !
Je vous présente donc une de ses oeuvres adaptée en OAV:
Itsudatte my Santa
Type: OVA
Episodes: 2 (mais un préview annonce l'ep 3)
Année: 2005 (sorti y'a quelques jours à peine)
Compagnies: TNK/Three fat samourai
URL: e-tnk.net/anime_my_santa_top.html
L'histoire
Adaptée d'une nouvelle très courte (qui s'arrête à la fin du premier OAV), Itsudatte my santa (pour toujours mon père noël) nous narre l'histoire d'un jeune garçon né un 24 décembre et donc baptisé Santa qui est toujours seul. Cependant ce Noël ne sera pas comme tous les autres pour lui car la pétillante Mai va tout faire pour tenter de le rendre heureux. En effet, Mai est une apprentie papa noël (donc plutôt mère noël) qui peut matérialiser tout ce qui commence par la syllabe "san". Malheureusement pour la jeune fille, Santa ne voit en elle qu'une lycéenne complètement dingue avec son renne en peluche. Au fur et à mesure, d'autre personnages plus délurés les uns que les autres vont apparaitre et c'est avec un rythme similaire à Love Hina que se poursuivent les aventures de Mai et de Santa...
Mai en normal et une fois transformée
Shirley, la meilleure amie et rivale de Mai
Maimai, la petite soeur de Mai
Mon Avis (même si on s'en balance)
Les épisodes sont plus délires les uns que les autres et même si par moment on ressent un brin d'amertume ou de tristesse, celle ci est vite éclipsée par une scène qui fait sourire.
Bref on sent une atmosphère presque similaire à celle de Love Hina même si ce dernier reste à mon humble avis bien meilleur. Si j'avais une critique majeure à faire, c'est que les évènements s'enchainent trop rapidement...
Je vous laisse un preview de l'oav 3 pour vous montrer jusqu'à quel paroxysme le délire est poussé...
PS: le robot est en réalité un Renne
A vivre au milieu des fantômes, on devient fantôme soi-même et le monde des démons n'est plus celui des étrangers mais le nôtre, surgi non de la nuit mais de nos entrailles...