Test de Final Fantasy VII Rebirth sur Playstation 5
Final Fantasy VII Rebirth est la deuxième partie de la trilogie refondant le célèbre J-RPG Final Fantasy VII. Ce nouvel opus reprend là où FFVII Remake s'est arrêté, c'est-à-dire à la sortie de Midgar et nous offre une expérience nouvelle dont on va discuter lors de ce test
Fiche du RPG |
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Développeur | Square Enix | |
Langue | Français | |
Difficulté | Facile | |
Genre | A-RPG |
La 7ème Fantasy
Je serais étonné d'apprendre que certaines personnes qui arrivent sur ce site ne connaissent pas le Final Fantasy VII original sorti en 1997. Mais dans le doute, et puisque ce nouvel opus s'adresse à une toute nouvelle génération, faisons un petit recap.
Le jeu original est sorti sur la toute première PlayStation et a été un carton international, a ouvert le style du J-RPG au monde entier et a transformé tout une génération de gamers, et ce, pour toute leur vie. On y suit Cloud Strife, un mercenaire qui rejoint le groupe éco-terroriste AVALANCHE. Ensemble, ils se battent contre la Shinra Corporation qui épuise l’énergie vitale de la planète. Cloud et ses alliés poursuivent Sephiroth, un ancien SOLDAT devenu fou, qui cherche à invoquer le sort Meteor pour le compte d'une divinité extraterrestre (résumé très rapide).
En 2020, en plein covid, Final Fantasy VII Remake (test ici) arrive sur PS4 : ce remake revisite l’histoire originale avec des graphismes modernes et un gameplay actualisé. Il s'appuie notamment sur le gameplay du spin-off Crisis Core (que j'ai adoré et dont voici le test). Le remake se concentre sur les événements de Midgar et introduit des éléments narratifs qui suggèrent des changements dans la chronologie connue, notamment avec l’apparition des Spectres du destin, l'omniprésence de Sephiroth (trop) et le Dance Dance Revolution de Cloud, qui pousse le bouchon un peu trop loin.
Arrive 2024 et la suite tant attendu arrive sur PS5 : Final Fantasy VII Rebirth.
La suite directe du Remake continue l’histoire là où elle s’est arrêtée. Le jeu explore davantage le monde en dehors de Midgar et développe les thèmes de destin et de choix. Les joueurs rencontrent de nouveaux personnages et affrontent des défis inédits tout en découvrant les conséquences des actions de Cloud et de son groupe sur la planète et son avenir. Sans rentrer dans les détails ce Rebirth en a surtout plus rien à foutre de l'opus original et chie à la gueule des nostalgiques qui pensaient faire FF7 avec la technologie d'aujourd'hui. Sans spoiler, la volonté même pas cachée de Nomura de briller encore une fois de plus par sa médiocrité et ainsi de créer une nouvelle chronologie pour s'accaparer Final Fantasy VII oscille entre des moments vraiment forts et intenses et d'autres trop compliqués pour son propre bien, conflictuels et décousus. La fin de ce Rebirth est l'équivalence de la fin du premier CD de l'opus originel. Et cette fin a été massacrée au plus haut point. J'attendais une seule scène pendant tout le jeu, elle a été détruite, purement et simplement. Cloud est un con, un pantin détestable, même Son Goku dans Dragon Ball Super a plus de jugeote. Voilà, passons aux autres aspects du jeu.
Génération PS5 ou PS4 ?
On va pas se mentir, là où FF7 Remake était un réel bond en avant et une claque graphique, l'aspect visuel de FF7 Rebirth ne m'a pas entièrement convaincu. Bien que le jeu présente des améliorations par rapport à la version PS4, il n’atteint pas tout à fait le niveau attendu d’un jeu PS5. Bah oui, faut bien rentabiliser les millions mis dans le moteur du jeu. Ça craint d'avance pour le dernier opus à venir de la trilogie.
Tant la modélisation des personnages principaux est très détaillée et les effets de post-traitement sont puissants, tant c'est clairement bâclé sur les PNJs (Personnages Non Joueurs). L'environnement est incohérent, l’éclairage et les reflets ne tirent pas pleinement parti des capacités de la PS5, y'a un flou artistique continuel. De plus, bien que le jeu propose deux modes graphiques distincts – un mode joli et un mode Performance – le mode joli rame à mort et je ne parle pas du mode performance qui connaît également des ralentissements continuels. C'est un jeu PS4 que la PS5 n'arrive pas à faire tourner ? C'est vous dire le niveau d'optimisation du jeu...
Il est important de noter que Square Enix a récemment publié un patch avec deux nouvelles options graphiques, en réponse aux critiques des joueurs concernant le mode Performance. Cela pourrait potentiellement améliorer l’expérience graphique pour ceux qui trouvaient les graphismes précédents un peu dépassés mais perso j'ai pas vraiment vu la différence (pourtant je joue sur une LG Oled C3 65" optimisée avec câble HDMI 2.0 en or ).
Après ne crachons pas sur tout. Les effets sont quand même très beaux, en CGI comme in game. Il y a des paysages magnifiques, on a vraiment l'impression de voyager loin. Le remaniement de chaque lieu clé du jeu original a été très bien fait. On s'amuse à faire le lien entre nos vieilles map en précalculé et les nouvelles. Et puis Tifa est... Oups!
Des combats épiques
Par contre le système de combat est clairement goldé. Les améliorations et les nouveautés par rapport à son prédécesseur, même sans faire la révolution, en font l'aspect le plus agréable de ce FF7 Rebirth.
Les combats sont ultra dynamiques, ils demandent une bonne gestion des compétences et de la jauge d'ATB. On peut (et on doit) changer de personnage en plein combat, selon la situation. Alors parfois c'est pénible, comme par exemple quand on a que Aerith en combat... Pour une fois l’utilisation de compétences synchronisées est bien pensée, et rajoute un aspect stratégique indéniable, en plus de passages scriptés bien jouissifs.
Qui dit jeu d'aujourd'hui et Action RPG (parce que oui, on va pas se mentir, c'est un action RPG) dit qu'il vous faudra développer votre maîtrise du timing et vos réflexes. Mais rien de bien méchant, c'est pas Elden Ring non plus.
L’Analyse est un outil obligatoire pour comprendre les faiblesses des ennemis et planifier votre approche, et c'est peut-être le seul aspect pénible et redondant des combats. Mais vous ne pourrez pas vous en défaire si vous voulez débloquer certaines récompenses du jeu. Bref, mon conseil malheureusement, c'est d'analyser absolument tout, tout le temps.
Mettre l'ennemi en état de Choc est une stratégie clé, ça va pas aussi loin que FFXVI mais c'est quand même ultra primordial sur certains boss aux HP démentiels.
Bien entendu, on a toujours le droit aux invocations, qui viennent vous épauler pendant un temps limité et qu'on obtient en les tabassant une première fois.
Notez juste que le magnifique système de matérias de FF7 a été réduit à néant. Ici, elles servent quasi à que dalle, à part pouer jouer sur les barres d'ATB / Choc. À la fin, j'optimisais même plus mon stuff tellement ça changeait quasi rien au résultat final des batailles.
Espace sonore
L'OST est signée Mitsuto Suzuki et Masashi Hamauzu de MONOMUSIK Inc., sur la base de la musique originale de Nobuo Uematsu (qui n'a participé qu'à une seule musique sur les 175 de la BO).
Une fois n'est pas coutume, le but ici a été d’adapter et de réinterpréter les airs originaux d’Uematsu, offrant une expérience sonore dans l'air du temps. À l'instar du Remake (mais en moins pire), je n'ai pas été convaincu. Quand Advent Children faisait des ré-orchestrations merveilleuses, là j'ai parfois eu l'impression d'arrangements paresseux. On perd encore une fois en profondeur. Le pire c'est les musiques d'ambiance, genre celle de Costa Del Sol, où t'as juste envie de mettre la musique en mute (je l'ai fait) et je ne parle pas de celles des mini jeux, mais ça, on va en reparler. Enfin, le mauvais choix de certains thèmes à certains moments clés du jeu ruine un peu l'impact émotionnel de ces mêmes scènes.
Concernant maintenant les effets sonores et sa qualité immersive c'est tout autre chose. C'est dans l'ensemble très bon. Le son 3D n'est pas si mal travaillé avec des éléments tels que l’hélicoptère de Shinra volant au-dessus des zones, les bruits ambiants des grandes plaines et les mélodies qui proviennent du ciel lors de l’exploration du Gold Saucer pour ne citer que ces exemples. En combat on se prend bien les explosions dans la gueule et on grince bien des dents sur les coups de lames, rien à redire à ce niveau là.
MAIS, MAIS, MAIS, et c'est un gros MAIS : c'est quoi ce mixage tout pourri ?! Le mixage des voix et des effets sonores rend difficile la compréhension des dialogues pendant les combats, mais au pire pendant les combats on s'en fout un peu, mais aussi pendant les cinématiques ou dialogues in game, où t'es quasi obligé de quand même mettre les sous-titres si tu veux pas rater des trucs. C'est vraiment infernal et ça gâche encore une fois profondément l'expérience. Je ne serais pas étonné que SxE nous ponde un correctif pour ça car c'est vraiment la catastrophe. Quelqu'un teste les jeux avant de les mettre sur le marché ?
Psychologie des personn...aïe
On sent bien que les personnages ont été profondément retravaillés dans ce Rebirth, et je ne dirais pas non plus que c'est en bien, du moins pas pour tout le monde.
Cloud est présenté avec une complexité accrue (trop), ses luttes internes et son passé mystérieux étant explorés plus en profondeur (mais mal). Son évolution psychologique est centrale à l’histoire, et le jeu met en lumière ses vulnérabilités et sa quête d'identité. Mais ce n'est pas crédible. C'est bon on a compris Cloud, t'es un putain d'emo. Déjà dans le FF7 de base j'avais du mal avec ce perso mais là il est carrément devenu détestable. Entre le gars froid mais qui s'amuse en mini jeux, l'assassin implacable et le pantin désarticulé, on pousse le bouchon de sa folie beaucoup trop loin. Il va y avoir un énorme travail de rééquilibrage sur le dernier opus de la trilogie pour le rattraper car comme c'est parti là, le méchant du jeu c'est pas Sephiroth, c'est Cloud.
Tifa est le pilier émotionnel du groupe, et sa relation avec Cloud est explorée avec nuance, révélant ses propres insécurités et sa force intérieure. C'est peut-être un des rares personnages bien retravaillé.
Barret est confronté à ses propres dilemmes moraux, son rôle de père ainsi que ses motivations pour lutter contre la Shinra. Son passage à lui est très fort émotionnellement. Dommage que dans tout le reste du jeu c'est un peu le bouffon de l'équipe.
Aerith, aaaah Aerith, heureusement que t'es là. Elle apporte une perspective unique avec sa connexion à la Planète et son optimisme, contrastant avec les autres personnages. Sa sagesse et sa joie de vivre cachent une mélancolie sous-jacente liée à son destin. D'ailleurs ces chaînes du destin qu'on se tape depuis le Remake gâchent un peu le thème principal du jeu, en prenant sa place et c'est bien dommage. Mais j'attends de voir ce qui se passera sur le volet final.
Red XIII offre une vision plus large du monde et de la vie, avec des thèmes de longévité et de tradition. Son parcours initiatique et sa découverte de la vérité sur son passé sont des moments clés. Les auteurs du jeu ont joué sur son doublage pour nous faire comprendre qu'il n'est pas que le sage que l'on pensait, mais en fait un simple ado. C'est ingénieux, même si perso je n'ai pas aimé, car je le vois comme une personne posée et intellectuelle depuis 1997, mais je comprends la démarche.
Concernant Yuffie, je n’ai pas fait l’Intergrade, mais de nombreux flashbacks ponctuent le jeu. Elle est toujours aussi neuneu mais je ne pourrais dire pourquoi, j’ai de l’affection pour elle. J’aime bien sa complicité avec Barret, qui sont tous deux relayés à des personnages de seconde zone. Sans parler de Cid et de Vincent qui eux sont carrément rétrogradés à la classe des PNJ. Dommage, car la mise en scène de l’arrivée de Vincent était vraiment classe et laissait présager quelque chose de vraiment bien concernant ce personnage. Ce sera dans le troisième opus écoutez…
En tant qu’antagoniste, Sephiroth est encore plus intimidant et énigmatique. Le jeu creuse dans sa psyché torturée, offrant un aperçu de ses motivations et de sa folie… c’est ce que j’aurais aimé écrire. Mais non. Le pétage de câble de Sephiroth est mal amené. Limite Hojo fait plus figure de grand méchant que Sephiroth dans cet opus. Sephiroth est encore une fois trop omniprésent, sans bonne raison valable à ce moment du jeu. Il est encore une fois maladroitement amené et on continue d’avoir une espèce de fascination sur ce personnage de la part des créateurs du jeu mais qui gâche justement la vraie profondeur de Sephiroth. Je suis prêt à parier que les nouvelles générations qui découvrent l’univers de FF7 (les vraies cibles de ce Rebirth) ne comprendront jamais notre fascination pour nous, les joueurs nostalgiques de ce Rebirth (nous ne sommes pas les vraies cibles du jeu) concernant Sephiroth.
Mario Party, sans le fun
La vraie raison d’être de ce FF7 Rebirth est clairement de toucher un nouveau public. Et pour ça, les concepteurs du jeu n’ont pas hésité à faire des paris “osés”, tout en essayant de voler tout ce qu’ils pouvaient dans les autres jeux.
Et le premier choix percutant c’est les mini-jeux. C’est Mario Party déguisé, mais sans le fun. Ce FF regorge de mini-jeux à un point où ça en est beaucoup trop, beaucoup, beaucoup trop. L’expérience même de FF7 a été réduite à néant à cause de ce choix artistique plus que discutable. Tu ne peux pas faire un pas sans te taper un mini jeu de merde. Et le pire, c’est que tu ne peux même pas les esquiver. La plupart d’entre eux sont obligatoires pour avancer dans le scénario !!! Ça va de la course de chocobo, de la course de dauphin, de la course de moto, au saut de grenouille, au saut de chocobo, aux combats 3D, à attraper des mog, faire du foot, collecter plein de merdes partout etc. Dans la plupart des cas c’est nul, c’est chiant, c’est pas maniable, c’est frustrant, c’est affreux. Dommage car par contre le Queen’s Blood, le jeu de carte in game très largement inspiré de FF8 est quant à lui excellent, on en veut toujours plus.
A chaque quête annexe j’avais l’impression qu’on me crachait à la gueule, qu’on crachait à la gueule de tous les fans de la première heure de FF7. Alors oui, comme beaucoup j’ai essayé de me dire qu’il fallait que je m’autopersuade que c’est un autre jeu, c’est pas FF7 que je fais là blablabla mais merde ! Pourquoi ne pas juste nous avoir donné l’expérience FF7 ultime ?!! C’était si compliqué de juste faire un jeu bien ?! Sans fioritures chiantes ? Je sais pas ce qui m’a pris de me dire que j’allais tout faire dans le jeu comme le Remake mais putain… Je me retrouve avec 120h au compteur de pure souffrance, avec juste mes yeux pour pleurer en me disant à chaque partie : mais putain, pourquoi ils ont fait ça? Est-ce que les concepteurs de ce Rebirth détestent à ce point FF7 original ? Je regrette profondément mon geste, je suis quasi sûr que si j’avais fait ce FF en ligne droite, en esquivant toutes les quêtes annexes, j’en aurais mieux profité. Ceci en est beaucoup dû au gameplay des mini jeux, souvent hasardeux mais également au fait que chacun de ces jeux, chaque quête annexe, a très souvent tendance à ridiculiser les personnages. Ainsi on massacre la crédibilité des persos, du scénario, et ainsi du côté grave de FF7. Ça en devient un jeu pop, moderne, et détestable.
Au Final (Fantasy)
Mon avis final est mitigé. Tout est en dents de scie dans ce Rebirth. Sans aucun doute qu'à faire en ligne droite, en se focus uniquement sur la quête principale, on arrive un peu à garder la tête hors de l'eau du ridicule, malgré le côté ultra décousu et peu crédible du remaniement de l'histoire. C'est ni moche ni beau. Le système de combat est excellent et dynamique. Cloud t'as envie de le baffer mais la complicité Tifa / Aerith est merveilleuse. L'histoire a des moments très forts, de belles mises en scène et d'autres moments sont maladroits et le rythme affreux. Ce Rebirth alterne en continu les hauts et les bas. Et c'est bien dommage, car il a tout d'un grand, mais on a l'impression que les concepteurs ont voulu en faire trop, en mettant l'énergie pas forcément toujours aux bons endroits.
Le monde ouvert est faussement ouvert car tout est noté sur la carte, chaque passage est montré grossièrement avec des couleurs parfois flashy et on a des antennes pour balayer des zones précises. Qui dit antennes pour un monde ouvert dit monde ouvert raté. C'est la règle dans les JV actuels. Pas d'antennes, c'est la loi pour faire un bon jeu.
Par contre là où j'ai vraiment le seum c'est dans la malhonnêteté des journalistes du monde entier. On se fout de la gueule de qui là ? 10/10 par ci, 99/100 par là, partout sur le net tu lis que c'est l'expérience FF ultime, que c'est le GOTY 2024 (alors que non, ce sera GTA VI, qu'on le veuille ou non), que le jeu est parfait blabla. Je n'ai jamais autant senti qu'on se foutait de notre gueule à ce point là. Déjà avant tu pouvais avoir des doutes sur certains journaleux mais là il n'y a plus de doutes possibles, la guerre du click a gagné face à l'intégrité. Les seuls tests un peu objectifs et critiques pour de vrai, j'ai dû les chercher loin, fouiller dans les sites indépendants, tout le reste c'est du gagging de Square Enix contre des chèques ou des promesses d'exclu. Ou alors c'est juste pas des joueurs, ils suivent la tendance et tous se sentent le fion ensemble. À vomir. J'aurais aimé plus de vérités, je me suis saigné pour avoir ce Rebirth day one. J'ai vendu ma caisse pour pouvoir me prendre un PS5 au prix fort et la version collector de Ff7 Rebirth (la grosse à 350 euros), soit presque 900 euros parce que je n'ai pas su tenir la hype installée par les journaleux de merde. Bah là j'ai juste l'impression de m'être fait enculer.
AU FINAL... |
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Qualité visuelleC'est pas au niveau de ce à quoi peut prétendre une PS5 mais c'est pas non plus moche. |
13 |
Qualité sonoreLes effets sont biens, le mixage horrible, les ré-arragements sont moyens. |
13 |
BackgroundQue dire sur le background ? On a saccagé FF7 pour en faire une ambiance pop, très Persona 5 mais en pas bien, avec un côté loufoque gay trop poussé. Ca ruine le fond intrinsèque du jeu. |
11 |
Interface - JouabilitéLà y'a rien à dire, c'est vraiment du tout bon. Le menu est excellent, l'interface globale très bonne, in-game ça se maitrise à la perfection. |
18 |
Durée de vie - Rejouabilité120h pour faire 95% du jeu. Je le referai en ligne droite pour me faire la trilogie complète, et c'est bien 50/60h, donc rien à dire de ce niveau là. Après, il ne me laissera pas un souvenir impérissable, pas sûr d'être si motivé de le refaire. |
16 |
Gameplay - IntérêtExcellent gameplay, super approche de FF7 pour les nouveaux-venus - juste les nostalgiques n'y trouveront pas leur compte (voire du tout). |
15 |
CONCLUSIONEn conclusion, c'est sans doute un bon jeu pour les noobs, en enfer pour les hardcore fans de FF7, pas forcément un truc de rétrogamer du tout non plus. Plus un jeu vif, pour ado, une repensée de FF7 mais clairement pas le remake attendu par les fans de la première heure. Un poil décu. |
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Commentaires
😱
Eh bé décidément... On pouvait s'attendre à mieux pour cette légende qu'est FF7.
salut a tous on va etre brève. pas de chevalier de la ronde et toujours pas tous les endroit comme l originale . oui c est pas encore pour cette fois si . dommage après il se plaignent d être en déficits normal il écoute pas les fans.
Je me suis dit que pour les chevaliers de la table ronde, bahamut zero et surtout la baston contre les armes de la terre ce sera pour le 3ème opus écoute... Par contre là oui, on crache à la gueule des fans. C'est couillon d'avoir voulu choper que des nouveaux joueurs, les enfants de 1997 sont ceux qui ont du pouvoir d'achat aujourd'hui et on joue encore !
J'ai adoré ff7 a sa sortie, je rêvait d'un remake...quelque fois on devrait ne pas trop rêver:)